Les innocents

 

Thriller – Eskil Vogt – Norvège – 2022 – 1 h 57 – VOST – Public : à partir de 14 ans

Le mal nait-il au temps de l’innocence ?

SYNOPSIS :

Dans la quiétude d’une banlieue assoupie par l’été nordique, quatre enfants se découvrent d’étonnants pouvoirs qu’ils convoquent innocemment dans leurs jeux, loin du regard des adultes. Alors qu’ils explorent leurs nouvelles aptitudes dans la forêt et le parc environnants, leurs distractions prennent peu à peu une tournure inquiétante.

« Quand je réalise un film, et surtout celui-ci, je pense beaucoup aux spectateurs. Je veux qu’ils soient tenus en haleine et qu’ils crient devant certaines scènes. Mais ce qui me satisferait le plus, c’est qu’après la projection, les gens parlent de la magie de leur enfance. J’aimerais qu’ils parlent d’eux enfants, de leurs expériences avec les limites du bien et du mal… » (Eskil Vogt, extrait du dossier de presse du film).

Synopsis

 

Bande Annonce et images

Images :

Ils ont fait le film

Eskil Vogt :

Eskil Vogt est un réalisateur norvégien né en 1974.Il suit une formation de réalisateur à la Fémis. Il écrit et réalise deux courts métrages Une étreinte (2003) et Les étrangers (2004) qui sont primés en festivals. Il réalise ensuite une série pour la télévision norvégienne. Il collabore par la suite avec le réalisateur Joachim Trier, comme que co-scénariste des films Reprise (2006), Oslo, 31 Août (2011) et Louder Than Bombs (2015). Il est aujourd’hui reconnu comme un des plus grands scénaristes en Norvège. En 2014, il réalise son premier long-métrage, Blind, où il met en avant son goût du thriller, même si le film ne rencontre pas le succès critique. The innocents est donc son second long-métrage et connait quant à lui une belle carrière dans les festivals, couronné notamment au festival fantastique du film de Gerardmer.

Ils en parlent

Ecran large : « Grand film magique sur les petits cauchemars de l’enfance, et donc de la vie, The Innocents est une merveille qui sonde les ténèbres pour mieux y retrouver un peu de lumière. »

Le Journal du Dimanche : « Le Norvégien Eskil Vogt impressionne par sa maîtrise, au service d’un propos aussi singulier que pertinent quand il dénonce la violence de groupe dans une atmosphère digne du Village des Damnés (1995), de Carpenter. »

Positif : « C’est le film le plus effrayant que j’ai vu depuis plusieurs années. Sans doute parce qu’avant d’être un film d’horreur, c’est un film sur l’enfance. »

Télérama : « D’où un crescendo aussi haletant que terrifiant. Il y a quelque chose de glaçant et de beau à la fois dans ce film lumineux, qui n’est jamais spectaculaire, qui vise toujours une forme de rigueur sobre en intériorisant la tension, concentrée dans une pure force mentale. »

Critique complète sur le site de Première : https://www.premiere.fr/film/The-Innocents

Documents et pistes pédagogiques

  Les Innocents : Dossier de presse (1,6 MiB, 100 hits)

 

 

 

 

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